Elle apparue devant moi. Une robe courte, rouge recouvrant partiellement son corps. Elle est à moi. Je le sais et elle sait aussi qu’elle m’appartient entièrement.
Son seul souhait, me satisfaire. Aucun refus est accepté si elle veut rester à mes pieds. Si elle veut garder mon attention sur elle, sur son corps. Elle doit obéir immédiatement, sans réclamations, j’attends juste d’elle une totale soumission à mes moindres désirs. Seules mes envies comptent à ses yeux. En retour, elle a de moi, le respect et le plaisir.
Sous mes ordres, elle vient devant mes yeux et tourna pour que je puisse la contempler. Aucune expression sur mon visage, juste une envie bestial croissante monté en moi. Elle sait ce que je veux, elle connaît mes goûts et c’est tout naturellement qu’elle vint s’assoire sur mes genoux. Mes bras restaient sur les accoudoirs du fauteuil puis elle commença à se déhancher. Se frottant à moi, tentant au maximum de m’exciter. Elle en a envie, je le sais. Elle veut que je lui fasse prendre son pied.
Elle se retourne et attaqua par des caresses sur mes seins, mon ventre, mes hanches. J’écarte les cuisses, elle s’engouffre à l’intérieur et fit parcourir sa bouche sur mon jean. Elle relève la tête, à genoux, ses seins en line de mire. Ses joues rosées, sa bouche entre ouverte me supplie un geste. Elle n’obtenu qu’un simple sourire en coin.
- « Maintenant, dégage et va faire nettoyer la table ! »
J’ai vu que sous mes mots, son coeur se brisa. Elle n’insista pas et partit exécuter sa tâche. Je l’observe. Cette robe si courte dévoilait des jambes fines, le début de ses fesses. Elle ne portait pas de sous vêtements. Je remontais mon regard sur son dos nu ainsi que sa chevelure brune retombant sur ses frêles épaules.
J’attendis plusieurs minutes puis soudain je me lève pour me diriger dans sa direction. Elle se retourna immédiatement. Collé contre la table, j’appuie mon corps. Mon regard à changé ainsi que le sien. Elle sait qu’elle aura ce qu’elle veut et mes désirs seront également assouvis. Elle tente de m’embrasser. Je la repousse violemment.
- « Je ne veux aucun mouvement, aucun son. Enfin pour l’instant. »
Elle hocha la tête. Je parcouru son corps de mes mains. Aucune douceur, ni tendresse n’exister dans mes mouvements. Le tissu recouvrait partiellement ses seins, je plongeais mes doigts à l’intérieur du décolleté, toucha sans vergogne sa peau veloutée. Un soupir s’échappa d’entre ses lèvres entre ouvertes en attente du plaisir absolu. Un autre sourire apparu sur les miennes. Je remonte légèrement sa robe au-dessus de ses hanches et d’un geste rapide, je la fit monter sur la table froide, ses jambes écarté. Totalement ouverte, offerte à moi. Elle m’excite au plus haut points, mais rien ne transparer sur mon visage ou sur mon corps.
Mes doigts effleurent son intimité, humide à souhait. Je plonge en elle sans somation et fit quelques va et vient en elle. Aucun son, juste sa respiration plus intense et rapide.
Je me retire immédiatement pour ensuite me collé à elle, près de son oreille.
- « Que veut-tu ? »
- « Toi en moi... Encore plus profondément... »
Mon sourire ne quitte plus ma bouche. Je la dévore du regard quand elle bascule sa tête en arrière. En attente de mon arriver. Je l’observe encore quelques minutes, profitant de la vue, de mon emprise sur elle. Sa poitrine se levant irrégulièrement, son ventre que je devine sous ce fin tissu. Je pose une de mes mains sur son dos cambré et mes yeux poursuivirent leur chemin sur ses jambes fuselées, puis à nouveau sur l’objet de mon désir.
De mon autre main, je plonge de nouveau en elle. Même rythme soutenu, même façon, mon regard rivé sur son visage. Je veux voir son plaisir montait en elle jusqu’à l’explosion de l’orgasme. Je poursuivis encore un petit moment, mais stoppa net pour me retirer d’elle. Je penche mon corps sur le sien et murmure à son oreille.
- « Crie. Exprime toi. Je veux t’entendre. »
Un large sourire apparut sur ses lèvres, tout de suite humidifié par sa langue. Elle la passa délicatement. Tentatrice, séductrice, ensorceleuse. Mon corps devint chaud comme de la braise. Une seule idée vint dans ma tête. Je voulais la baiser, répondre à cette femme n’attendant que moi. Je remit mes doigts à l’intérieur, reprenant mes va et vient avec plus de fougue, de passion. Et comme je lui avais demandé. Sa douce voix vint à mes oreilles et c’est dans une symphonie que je l’amène jusqu’à l’orgasme. Je pouvais voir dans ses yeux, son plaisir, sa délivrance, sa reconnaissance. Elle m’appartient totalement.
Son souffle court et sa peau transpirante, elle baisse son regard. Je la toise de haut. Je n’en ai pas fini avec elle, j’en veux encore, encore plus. D’un signe de la main, je lui ordonne de se retourner. À présent, je peux voir son dos, ses fesses nues se frottant à mon jean. Je pince ma lèvre inférieure entre mes dents, pose mes deux mains sur ses hanches pour commencer à la caresser. Elles parcourent ses fesses, ses jambes ainsi que son dos, je les pose sur son ventre tout en remontant vers ses seins. Ma bouche recouvre sa peau de baisers tantôt tendre, tantôt sauvage. Ma langue redessine sa colonne vertébrale avec sensualité. Je sens que son envie revient en elle, mon signe, ses coups de bassins contre moi. Elle en veut encore, de plus en plus au fur et à mesure de mes caresses. Je relève la tête, mes mains quittent sa poitrine pour aller sur ses fesses. Je l’observe encore un peu. Elle est appuyée sur la table à l’aide de ses bras, jambes écartées, les cheveux qu’elle mit derrière ses oreilles pour me laisser entrevoir son visage. Son dos creusé, les fesses relever démontrait son désir pour moi. J’affectionne particulièrement cette position, elle prouve sa soumission, cet abandon pour moi. Elle s’en remet entièrement à sa maîtresse. Moi. Je passe une de mes mains sur son intimité, l’autre agrippant fermement sa hanche. Je rentre de nouveau en elle avec beaucoup plus de férocité. Ses seins gigotent, son dos se creuse encore plus et je sens qu’elle bouge contre mes doigts pour rendre les coups encore plus fort. Cela m’excite. Je lui donne ce qu’elle demande sans me faire prier. J’arrive rapidement à son orgasme pour ensuite me retirer immédiatement. Je souris, entièrement satisfaite d’elle.
- « Tu en veux encore ? »
- « Oui... Toujours pour toi... »
- « Un joujou ? »
Elle hocha la tête, le regard suppliant.
- « Ne bouge pas. Je reviens. »
Je me retourne et part dans ma chambre. Après quelques minutes, je suis de nouveau près d’elle. Elle n’avait pas bougé d’un centimètre.
- « C’est bien. Tu auras droit à une petite surprise. »
Je colle l’objet froid contre elle, qui lui valut un hoquet de surprise. Je baisse le regard pour voir le joujou. Un godmichet ceinture. De mes mains, je touche ses fesses tout en le positionnant correctement. Elle sait ce que je compte faire. Et ne montre aucune résistance. Je rentre en elle doucement, délicatement. Je ne veux pas lui faire de mal, non plus, ce n’est pas mon but. Après quelques va et vient léger, la zone aillant était élargie, j’agrippe de nouveau ses hanches et continue mes mouvements avec plus d’ampleur. Je sens, vois, ses fesses se collé à moi à chaque coup de bassin. De plus en plus crescendo. Je suivais ses cris, son corps moite. Puis doucement, je le retire, le nettoie avec un gant humide que j’avais au préalable préparé et rentre encore. Cette fois, dans son intimité. Mes gestes se fient plus violent, je prenais moins de gants dans cette partie de son corps. Et c’est presque avec acharnement que je lui prit un autre orgasme.
J’en avais fini avec elle. Enfin pour l’instant. Elle reste ici, chez moi, pour pouvoir m’en servir encore. Elle se retourne vers moi tout sourire et essoufflée. J’enlève mon équipement et vais m’assoire dans mon fauteuil en allumant une cigarette. Elle remit normalement sa robe et vint près de moi. La tendresse n’exister pas beaucoup entre nous mais à chaque fois que je la baise, je lui accorde un câlin tendre et doux. Comme une récompense...
Maîtresse 
